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Bien choisir son télescope

 

bien choisir son télescope

Il est impératif de savoir, avant d’entreprendre quoi que ce soit, qu’un télescope n’est pas un laisser passer pour l’observation de toutes les merveilles du ciel. En effet, la diversité des astres, en terme de distance, de grandeur ou de luminosité, impose au fabricant de créer différents modèles de télescopes qui permettront de voir, au choix, tel ou tel astre. Chaque personne est différente, chaque personne ressent différemment et a des attirances qui ne sont pas forcément les mêmes que celles de son voisin. Certains seront attirés par la beauté des planètes de notre système solaire ou de leurs satellites, d’autres par les splendeurs de ce qu’on appelle le ciel profond, qui regorge de trésors : étoiles doubles, amas ouverts et globulaires, nébuleuses, galaxies, rémanants de supernovae, etc …

Sommaire

Télescopes en solde

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Chaque personne vit aussi dans un environnement qui peut être plus ou moins favorable à l’observation céleste (ville, campagne, montagne). Une personne pourra se contenter d’observer les ciel en visuel (une monture azimutale peut suffire), alors qu’une autre voudra se jeter à corps perdu dans l’astrophotographie (moteur et monture équatoriale indispensable). Enfin, le prix varie du tout au tout, suivant la technologie ou bien la puissance de l’outil.
Tous ces paramètres sont autant de critères qu’il faut impérativement prendre en compte avant de faire son choix : le bon choix !
Voici donc quelques clés qui vous permettront de faire un choix vraiment adapté à vos besoins, quelle que soit votre envie et la relation que vous entretenez avec le ciel.

Le diamètre du tube (ou l’ouverture)

Une idée à bannir avant tout : Le grossissement (souvent annoncé comme une qualité primordiale dans les publicités) n’est pas un critère d’importance ! D’ailleurs ce n’est pas le tube qui détermine le grossissement mais l’oculaire qu’on y fixe. En outre, plus le grossissement est faible, est plus le gain en luminosité et en netteté est important.
La vocation première d’un télescope est bien sur de grossir, mais le facteur essentiel pour obtenir de belles images, c’est sa capacité à récolter un maximum de lumière. Cette capacité est déterminée par l’ouverture de l’élément principal su système optique (que ce soit un miroir ou bien une lentille), son diamètre. Plus la quantité de lumière sera importante, et plus on pourra se permettre de grossir sans perdre en qualité d’image. Sinon, à grossissement égal, un diamètre important permettra de révéler une quantité plus importante d’astres à observer, moins lumineux, ou de détails sur les planètes (résolution).
Avant d’opter pour un gros diamètre, gardez toutefois à l’esprit l’augmentation du volume et du poids de l’engin, et assurez-vous que vous serez bien capable de le déplacer sur un site d’observation, ou même de le stocker chez vous !
Que peut-on voir avec quel diamètre (sous réserve d’un ciel peu ou pas pollué par la lumière des agglomérations) ?

  1. Pour les débutants, un télescope ou une lunette de 60mm de diamètre peut déjà permettre d’observer les cratères de la Lune, les tâches solaires, les anneaux de Saturne, ou bien les bandes nuageuses de Jupiter, ainsi que ses quatre plus gros satellites.

  2. Un télescope de 130mm à 150mm, voire de 114mm à 130mm, ou bien une lunette de 70mm à 90mm dévoilera beaucoup plus de détails du sol lunaire ainsi que des planètes, et révèlera déjà de somptueuses nébuleuses ainsi que certains amas d’étoiles.

  3. A partir de 200mm, votre télescope vous permettra d’observer de faibles amas stellaires, de splendides nébuleuses ainsi que des galaxies.

diamètre des télescopes

Le grossissement

Comme cela a été dit plus haut, la première question qu’est susceptible de poser un débutant est : « Il grossit combien de fois ? », alors que la vraie question est « Quelle est l’ouverture du tube ? » … En réalité, ce n’est pas le télescope qui grossit, mais l’oculaire qu’on voudra bien y placer, et on peut finalement y fixer n’importe quoi. Mais où est l’intérêt d’un grossissement x650, si on n’obtient qu’une tâche informe, floue, et terne ?

grossissement lunette

En fait, quel que soit l’oculaire qu’on fixe, la quantité de lumière qui arrive dans votre œil est la même. Ce qui veut dire que plus l’image d’une planète est grossie, et plus sa lumière s’étale sur sa surface, elle s’assombrit. La résolution de l‘image possède elle aussi une limite (limite physique de la lumière) qu’on ne peut dépasser sans obtenir une image floue et inutilisable.
Le grossissement se calcule en faisant le rapport entre la longueur focale du tube optique et la longueur focale de l’oculaire.
Exemple :        tube optique = F900mm et oculaire = F12mm
900/12 = grossissement 75x
Le grossissement maximum utile, correspond au double du diamètre du miroir (ou de la lentille) principal(e), en millimètre. Un diamètre de 114mm nous autorisera donc à grossir jusqu’à 228 fois, sans perdre en qualité d’image. Il est néanmoins conseillé de modérer le grossissement, et de privilégier un grossissement x0.5 ou bien x1, afin de révéler les plus belles images.
Le grossissement minimum utile existe lui aussi : il est égal au 1/6ème de la taille du diamètre, en millimètres.
Le grossissement résolvant, c’est le grossissement qui révèlera le plus de détails visibles sur l’image. Il correspond tout simplement au diamètre du miroir primaire.

astrophotographie ratée

Toutefois, pour garantir une image de qualité, même en-deçà du grossissement maximum utile, il faut faire attention à choisir un oculaire de bonne facture. Sans devoir forcément se ruiner, on trouve déjà de bons oculaires qui raviront les débutants, et même les amateurs confirmés, pour quelques dizaines d'euros seulement : les Plössls. Les lentilles de ces oculaires sont traitées multicouches contre les aberrations chromatiques, la coma et autres désagréments optiques ... Evitez les oculaires de type Kellner qui sont, pour leur part, souvent faits de plastiques et s'approchent plus du jouet que du matériel digne de ce nom.

Voici une sélection de toute la gamme d'oculaires disponible chez notre partenaire.

La longueur focale du télescope

La focale, c’est la distance parcourue par la lumière entre le centre de la lentille (ou du miroir primaire) et l’endroit où convergent tous les rayons lumineux : le foyer. Plus une distance focale est grande, et plus le grossissement possible sera important.
On établit un rapport entre le diamètre (vu plus haut) et la focale, qui permet de déterminer l’usage qu’on fera de tel ou tel télescope, ce qui simplifie bien des choix ! Ce rapport est le rapport F/D (F = focale, D = diamètre). Il indique la capacité du télescope à détecter les faibles luminosités.
Un rapport faible (inférieur à 6), indiquera que le télescope est plutôt destiné à un usage orienté vers le ciel profond (nébuleuses peu lumineuses), alors qu’un rapport supérieur à 10 sera parfait pour le planétaire, puisque les planètes sont déjà très lumineuses.
Entre 6 et 10, on peut considérer que le télescope est polyvalent, et qu’on peut aussi bien observer le planétaire comme le ciel profond.

Cas pratiques :
  • le Newton Skywatcher 150/750 est idéal pour le ciel profond avec un rapport f/d de 5.
  • le Newton Celestron 114/900 est polyvalent et idéal à la fois pour le planétaire et le ciel profond, avec un rapport f/d de 7.9.
  • le Maksutov Skywatcher 127/1500 est idéal pour le planétaire avec un rapport f/d de 11.8.
focale télescope

Le pouvoir séparateur

On pourrait tout aussi bien appeler cela la résolution, puisqu’il s’agit ici de l’aptitude à discerner les détails sur la surface d’un astre (les cratères de la Lune, la tache rouge de Jupiter, la division de Cassini des anneaux de Saturne, les calottes polaires de Mars, etc …), ou a séparer les étoiles doubles (pour le ciel profond). Ce pouvoir séparateur se mesure non pas en millimètre mais en secondes d’arc (qui s’écrit "). Pour connaître le pouvoir séparateur de son tube, il faut diviser le nombre 120 par le diamètre du miroir primaire (en mm).

Exemple :
Pour un télescope 130 (diamètre) / 900 (focale) : 120/130 = 0.92" d’arc.

Cette valeur est théorique car dans la pratique, il y a très souvent un peu de turbulence atmosphérique qui viendra nuire au pouvoir séparateur … Néanmoins, cette notion permet de connaître les performances de sa machine, et elle est toujours capitale lors de conditions d’observation idéales !
Afin de jouir pleinement d’un excellent pouvoir séparateur, il faut éviter d’observer depuis chez soi en ouvrant la fenêtre, car la différence de température obtenue au contact du dehors et du dedans crée des turbulences (comme l’effet mirage qu’on voit à l’horizon lors des chaudes journées d’été).

pouvoir séparateur

Le système optique (réflecteur, réfracteur, catadioptrique)

Bien que l’objectif d’un télescope soit de recueillir et focaliser la lumière, il existe différentes techniques pour y parvenir.

- Les télescopes réflecteurs

Ils sont constitués de miroirs concaves, et sont exclusivement destinés à l’astronomie. En effet, la lumière réfléchie à travers les jeux de miroirs offre une image inversée, il existe néanmoins des accessoires qui remettent l’image à l’endroit (redresseur terrestre).
A budget égal, un réflecteur offrira un diamètre plus important, et donc plus de lumière.
Le plus courant est le « Newton ».  Ils offrent, pour un même prix, un diamètre supérieur. Un bon Newton peut rivaliser avec une bonne lunette en terme de contraste et de netteté des images. L’oculaire n’est pas placé dans l’alignement du tube, à l’opposé de l’objectif, mais sur le côté du tube, par jeu de miroir, ce qui est plus confortable pour l’observation et évite de se plier en deux. De plus, la monture basse limite l’influence du vent.

Afin d’obtenir un diamètre très grand pour un budget plus raisonnable, on préfèrera le « Dobson ».
Contrairement à la lunette, le télescope à réfléchissement nécessite un entretien occasionnel. Par exemple, il convient de procéder à un réalignement périodique des miroirs, ou collimation, afin d’accroître les performances. C’est une manipulation simple et rapide, mais qui peut faire peur à un débutant. Le tube du Newton est à l’air libre, ce qui attire les poussières et autres saletés. Il est également sensible à l’humidité de l’air, il faut donc le recouvrir de son couvercle après chaque utilisation, si on veut conserver ses miroirs aussi propres que possible.
D’un point de vue général, l’entretien d’un télescope n’est pas fastidieux, il n’y a pas de réticences à avoir sur ce sujet.

Voici une sélection de télescopes réflecteurs chez notre partenaire : de type Newton, et de type dobson.

trajet lumière newton

- Les télescopes réfracteurs (lunettes astronomiques)

Aussi appelés « lunettes astronomiques », ils ne sont pas faits de miroirs qui réfléchissent la lumière, mais de lentilles qui réfractent la lumière. D’apparence longue et mince, la lunette possède juste une lentille d’objectif à une extrémité et une lentille d’oculaire à l’autre.
Ce système de lentilles autorise également l’observation terrestre. Les réfracteurs sont plus chers que les réflecteurs, et bien que le système de lentilles soit le premier à avoir été inventé, la qualité de l’image est bien supérieure (à diamètre égal) aux autres systèmes. Les lunettes sont surtout appréciées pour l’observation planétaire, et simple d’utilisation pour les débutants (peu d’entretien). Ils sont aussi plus adaptés que les réflecteurs pour les personnes habitant dans une zone sujette à la pollution lumineuse, à laquelle ils sont beaucoup moins sensibles. En contrepartie, l’observation du ciel profond n’est pas recommandé avec une lunette, même avec un diamètre important, on lui préfèrera le télescope réflecteur, surtout après avoir comparé les prix !
Le tube étant long (longueur focale importante) la lunette est montée sur un trépied haut, ce qui peut la rendre sensible au vent (en tout cas plus qu’un télescope), ce qui peut gêner à fort grossissement.

Voici une sélection de télescopes réfracteurs chez notre partenaire.

télescope réfracteur

- Les télescopes catadioptriques

Ils sont le trait d’union entre les réflecteurs et les réfracteurs. Ils possèdent en effet un système composé de lentilles et de miroirs.

Les types de télescopes qui y sont associés, et que vous retrouverez dans les catalogues, sont le plus souvent Schmidt-Cassegrain, Maksutov-Cassegrain, ou encore Newton-Catadioptrique. Ce dernier n’étant qu’une adaptation du classique Newton avec un rajout d’une lentille sensée doubler la longueur focale du miroir primaire.
Les Maksutov sont connus pour étant de meilleure qualité que les Schmidt, de par son optique sphérique plus facile à fabriquer et offrant un gain en précision supérieur à un Schmidt. Ce qui ne veut pas dire que le Schmidt est de mauvaise qualité, loin delà !
Le moins onéreux des trois étant le Newton-Catadioptrique, facile à transporter et de qualité tout à fait honorable.
Comme les réflecteurs, les catadioptriques nécessitent eux aussi de la maintenance au niveau des miroirs.
D’un point de vue global, en terme de prix, le catadioptrique se situe entre le réflecteur et le réfracteur. Cet instrument est un bon compromis entre les deux, et il est polyvalent grâce à sa transportabilité et ses performances en planétaire et ciel profond.

Maksutov

La monture, le trépied

La grande majorité des télescopes vendus le sont avec la monture prévue à cet effet, mais on peut également se les procurer indépendamment. La monture est, en tout cas, indispensable pour l’observation, c’est elle qui fait bouger le tube à votre guise pour viser la cible de votre choix.
Il est existe deux principaux types de monture :

monture azimutale :

Elle offre un mouvement vertical et horizontal du tube, guidé par deux flexibles et ne nécessitant pas de moteur, ce qui est parfait pour l’observation terrestre, un peu moins pour le ciel … La plus connue de ces monture est la monture Dobson, adaptée aux tubes de grand diamètre (de type Newton par exemple). Les Dobsons n’ont pas de flexibles, mais se meuvent manuellement avec un système de roulements Téflon, très facile à utiliser, même à fort grossissement.

Par contre, la monture azimutale est déconseillée pour ceux qui ont pour ambition de faire de l’astrophotographie.

monture azimutale

Voici une sélection de montures azimutales chez notre partenaire.

monture équatoriale :

La monture équatoriale est exclusivement dédiée à l’astronomie, et non pour l’observation terrestre. Le principe de cette monture est de suivre le mouvement de la rotation terrestre, donc le mouvement apparent de la voûte céleste, elle est donc plus adaptée pour le repérage et le suivi des astres que la monture azimutale. Cette monture permet également de repérer les astres de par leurs coordonnées célestes : ascension droite (AD) et déclinaison (DEC).

Commandée par un flexible, elle est simple d’utilisation, commandée par un moteur électronique, elle vous permettra d’observer sans rien toucher, et de faire de l’astrophotographie. Chaque télescope à sa monture prédéfinie en fonction de son poids.

monture équatoriale

Voici une sélection de montures équatoriales chez notre partenaire. Idéales pour repérer les objets du ciel, simplifiez-vous la vie avec les montures GoTo !

Le lieu d’observation

Facteur non négligeable et même capital, la qualité de votre ciel !
Un télescope de grande qualité ne pourra rien faire face à un ciel déformé par les turbulences atmosphériques ou pire (car permanent), face à un ciel inondé de pollution lumineuse.
Si vous habitez au cœur d’une grande agglomération, il est inutile de pouvoir espérer un jour observer les nébuleuses et galaxies dont regorge notre ciel. Tout au plus vous pourrez observer les planètes les plus visibles : Jupiter, Saturne et Mars (la Lune et le Soleil bien sur !).
Si vous habitez en banlieue d’une agglomération, évidemment les conditions seront meilleures mais certainement pas suffisantes pour croquer du ciel profond …

C’est bien connu, pour s’épanouir en astronomie, il faut soit habiter à la campagne, soit à la montagne (l’altitude c’est encore mieux !).

pollution lumineuse

L’astrophotographie

Avant de faire définitivement votre choix, posez-vous la question de ce vous voudrez en faire. Votre but est de faire de l’astrophotographie ? Alors faites votre choix en conséquence. Petite précision avant tout, si vous n’avez jamais observé auparavant, si vous êtes vraiment un novice, il est préférable de patienter et d’apprendre, de vous familiariser avec le maniement de l’engin, quitte à acheter un plus petit diamètre pour commencer.

Tous les télescopes peuvent servir à la photo, pourvu qu’on ai l’adaptateur adéquat, qui permette de fixer votre appareil photo (il en existe des universels). Par contre, il est indispensable de posséder une monture équatoriale et un moteur électronique qui assure le suivi de l’astre photographié pendant la pause ! Sinon, la planète photographiée ressemblera plutôt à un gros trait ! Le trépied doit, lui aussi, être irréprochable, solide et stable comme un roc : la moindre vibration pendant la pause et la photo sera ratée.

astrophotographie

Le matériel préconisé pour l'astrophotographe complet :

Vous pouvez également consulter notre article dédié à l'astrophotographie.

Le prix de votre télescope

Acheter un télescope, ce n’est évidemment pas comme acheter une voiture, mais cela porte tout de même à réflexion.
Même pour débuter, ou pour offrir à un enfant, évitez absolument les télescopes moins chers que les moins chers, vendus en grande surface. La qualité y est le plus souvent exécrable, et les frustrations engendrées pourraient avorter une future passion naissante … Quel dommage !
A l’autre extrême, ne vous découragez pas si le télescope de vos rêves est pour le moment inabordable, ne laissez pas l’astronomie de côté pour autant ! Il y a une grande quantité de télescopes de moindre diamètre de très bonne quantité et à des prix attractifs.

Pour être sûr de faire un bon choix à moindre coût, nous vous invitons à consulter notre article : Je veux un bon télescope pas cher ! Vous y trouverez une sélection de matériel très abordable, tous en-dessous de 300 €, et jouissant tous d'une bonne réputation dans le petit monde de l'astronomie amateur.

Enfin, si le prix n’est pas un obstacle pour vous, ne vous ruez pas sur le plus gros diamètre de la gamme pour débuter ! Plus un télescope est cher, et plus il est en général compliqué à manœuvrer, alors si vous ne connaissez même pas le ciel, ou que vous ne comptez pas perdre de temps en maintenance de votre outil, évitez ce genre d’investissement inutile, et revoyez vos ambitions à la baisse.

Bref, quel que soit votre profil ou vos motivations, il faut peser le pour et le contre, il est nécessaire de prendre le temps de la réflexion.

Nous vous invitons enfin à consulter cet article : Les erreurs à ne pas commettre ! Si avec cela vous vous trompez dans votre achat ... Ce sera de votre faute ! :-)

Notre sélection de vidéos sur les télescopes

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