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Bien que l’objectif d’un télescope soit de recueillir et focaliser la lumière, il existe différentes techniques pour y parvenir.
Ils sont constitués de miroirs concaves, et sont exclusivement destinés à l’astronomie. En effet, la lumière réfléchie à travers les jeux de miroirs offre une image inversée, il existe néanmoins des accessoires qui remettent l’image à l’endroit (redresseur terrestre). |
Afin d’obtenir un diamètre très grand pour un budget plus raisonnable, on préfèrera le « Dobson ».
Contrairement à la lunette, le télescope à réfléchissement nécessite un entretien occasionnel. Par exemple, il convient de procéder à un réalignement périodique des miroirs, ou collimation, afin d’accroître les performances. C’est une manipulation simple et rapide, mais qui peut faire peur à un débutant. Le tube du Newton est à l’air libre, ce qui attire les poussières et autres saletés. Il est également sensible à l’humidité de l’air, il faut donc le recouvrir de son couvercle après chaque utilisation, si on veut conserver ses miroirs aussi propres que possible.
D’un point de vue général, l’entretien d’un télescope n’est pas fastidieux, il n’y a pas de réticences à avoir sur ce sujet.
Aussi appelés « lunettes astronomiques », ils ne sont pas faits de miroirs qui réfléchissent la lumière, mais de lentilles qui réfractent la lumière. D’apparence longue et mince, la lunette possède juste une lentille d’objectif à une extrémité et une lentille d’oculaire à l’autre.
Ce système de lentilles autorise également l’observation terrestre. Les réfracteurs sont plus chers que les réflecteurs, et bien que le système de lentilles soit le premier à avoir été inventé, la qualité de l’image est bien supérieure (à diamètre égal) aux autres systèmes. Les lunettes sont surtout appréciées pour l’observation planétaire, et simple d’utilisation pour les débutants (peu d’entretien). Ils sont aussi plus adaptés que les réflecteurs pour les personnes habitant dans une zone sujette à la pollution lumineuse, à laquelle ils sont beaucoup moins sensibles. En contrepartie, l’observation du ciel profond n’est pas recommandé avec une lunette, même avec un diamètre important, on lui préfèrera le télescope réflecteur, surtout après avoir comparé les prix !
Le tube étant long (longueur focale importante) la lunette est montée sur un trépied haut, ce qui peut la rendre sensible au vent (en tout cas plus qu’un télescope), ce qui peut gêner à fort grossissement.
Ils sont le trait d’union entre les réflecteurs et les réfracteurs. Ils possèdent en effet un système composé de lentilles et de miroirs.
Les types de télescopes qui y sont associés, et que vous retrouverez dans les catalogues, sont le plus souvent Schmidt-Cassegrain, Maksutov-Cassegrain, ou encore Newton-Catadioptrique. Ce dernier n’étant qu’une adaptation du classique Newton avec un rajout d’une lentille sensée doubler la longueur focale du miroir primaire.
Les Maksutov sont connus pour étant de meilleure qualité que les Schmidt, de par son optique sphérique plus facile à fabriquer et offrant un gain en précision supérieur à un Schmidt. Ce qui ne veut pas dire que le Schmidt est de mauvaise qualité, loin delà !
Le moins onéreux des trois étant le Newton-Catadioptrique, facile à transporter et de qualité tout à fait honorable.
Comme les réflecteurs, les catadioptriques nécessitent eux aussi de la maintenance au niveau des miroirs.
D’un point de vue global, en terme de prix, le catadioptrique se situe entre le réflecteur et le réfracteur. Cet instrument est un bon compromis entre les deux, et il est polyvalent grâce à sa transportabilité et ses performances en planétaire et ciel profond.
La grande majorité des télescopes vendus le sont avec la monture prévue à cet effet, mais on peut également se les procurer indépendamment. La monture est, en tout cas, indispensable pour l’observation, c’est elle qui fait bouger le tube à votre guise pour viser la cible de votre choix.
Il est existe deux principaux types de monture :
Elle offre un mouvement vertical et horizontal du tube, guidé par deux flexibles et ne nécessitant pas de moteur, ce qui est parfait pour l’observation terrestre, un peu moins pour le ciel … La plus connue de ces monture est la monture Dobson, adaptée aux tubes de grand diamètre (de type Newton par exemple). Les Dobsons n’ont pas de flexibles, mais se meuvent manuellement avec un système de roulements Téflon, très facile à utiliser, même à fort grossissement.
Par contre, la monture azimutale est déconseillée pour ceux qui ont pour ambition de faire de l’astrophotographie.
La monture équatoriale est exclusivement dédiée à l’astronomie, et non pour l’observation terrestre. Le principe de cette monture est de suivre le mouvement de la rotation terrestre, donc le mouvement apparent de la voûte céleste, elle est donc plus adaptée pour le repérage et le suivi des astres que la monture azimutale. Cette monture permet également de repérer les astres de par leurs coordonnées célestes : ascension droite (AD) et déclinaison (DEC).
Commandée par un flexible, elle est simple d’utilisation, commandée par un moteur électronique, elle vous permettra d’observer sans rien toucher, et de faire de l’astrophotographie. Chaque télescope à sa monture prédéfinie en fonction de son poids.
Facteur non négligeable et même capital, la qualité de votre ciel !
Un télescope de grande qualité ne pourra rien faire face à un ciel déformé par les turbulences atmosphériques ou pire (car permanent), face à un ciel inondé de pollution lumineuse.
Si vous habitez au cœur d’une grande agglomération, il est inutile de pouvoir espérer un jour observer les nébuleuses et galaxies dont regorge notre ciel. Tout au plus vous pourrez observer les planètes les plus visibles : Jupiter, Saturne et Mars (la Lune et le Soleil bien sur !).
Si vous habitez en banlieue d’une agglomération, évidemment les conditions seront meilleures mais certainement pas suffisantes pour croquer du ciel profond …
C’est bien connu, pour s’épanouir en astronomie, il faut soit habiter à la campagne, soit à la montagne (l’altitude c’est encore mieux !).
Avant de faire définitivement votre choix, posez-vous la question de ce vous voudrez en faire. Votre but est de faire de l’astrophotographie ? Alors faites votre choix en conséquence. Petite précision avant tout, si vous n’avez jamais observé auparavant, si vous êtes vraiment un novice, il est préférable de patienter et d’apprendre, de vous familiariser avec le maniement de l’engin, quitte à acheter un plus petit diamètre pour commencer.
Tous les télescopes peuvent servir à la photo, pourvu qu’on ai l’adaptateur adéquat, qui permette de fixer votre appareil photo (il en existe des universels). Par contre, il est indispensable de posséder une monture équatoriale et un moteur électronique qui assure le suivi de l’astre photographié pendant la pause ! Sinon, la planète photographiée ressemblera plutôt à un gros trait ! Le trépied doit, lui aussi, être irréprochable, solide et stable comme un roc : la moindre vibration pendant la pause et la photo sera ratée.
Acheter un télescope, ce n’est évidemment pas comme acheter une voiture, mais cela porte tout de même à réflexion.
Même pour débuter, ou pour offrir à un enfant, évitez absolument les télescopes moins chers que les moins chers, vendus en grande surface. La qualité y est le plus souvent exécrable, et les frustrations peuvent avorter une future passion … Quel dommage !
A l’autre extrême, ne vous découragez pas si le télescope de vos rêves est pour le moment inabordable, ne laissez pas l’astronomie pour autant !! Il y a une grande quantité de télescopes de moindre diamètre de très bonne quantité et à des prix attractifs.
Enfin, si le prix n’est pas un obstacle pour vous, ne vous ruez pas sur le plus gros diamètre de la gamme pour débuter ! Plus un télescope est cher, et plus il est en général compliqué à manœuvrer, alors si vous ne connaissez même pas le ciel, ou que vous ne comptez pas perdre de temps en maintenance de votre outil, évitez ce genre d’investissement inutile, et revoyez vos ambitions à la baisse.
Bref, quel que soit votre profil ou vos motivations, il faut peser le pour et le contre, il est nécessaire de prendre le temps de la réflexion. Partager